Dimanche, une amie m'a fait visiter son jardin. En fait, ce sont plusieurs petites parcelles de terre alluviale, d'anciens potagers, dans la vallée, entre la rivière et un petit canal.
La terre est riche, l'eau ne manque pas, le summum de l'exotisme pour moi, et c'est la pleine saison des asters.
Jamais vu une telle variété d'asters, de couleurs, de taille, de formes de fleurs, en dehors des magazines de jardin ; certains montent à plus de deux mètres, dans ces conditions.
Inutile d'essayer de rivaliser avec cette profusion !
Dans mon jardin, je n'ai que deux asters.
Un mauve très pâle, qui commence à peine à fleurir; l'année de la plantation, les lapins avaient grignoté toutes les tiges, maintenant pour égarer les lapins (moins nombreux, ils font moins de dégâts visibles, mais ils sont toujours là) je laisse pousser l'herbe, et l'indigène Aster amellus, déjà défleuri...
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