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2017/06/30

Au siècle dernier

Il pleut, la température a (beaucoup) baissé, le jardin respire - et moi aussi.

Ranger des papiers, retrouvé ces dessins de Paris. 
En 1979, sur un carnet à petits carreaux...



2017/06/27

Toulouse, 24 juin

 Au port Saint-Sauveur, sur le canal. Avec une température correcte, pas la canicule. Cette fois-ci, nous étions huit.


Exercice en monochrome, ombre et lumière, textures. 
L'intérêt du monochrome, c'est qu'on s'épargne des choix de couleurs, c'est déjà ça !

J'ai choisi cette vue frontale (peu ou prou celle de la première photo), et raté les bateaux du premier plan, surtout celui de gauche. Caché pudiquement sous le tapis dans la photo de droite.
Curieusement, toutes les filles ont choisi le bleu (Vincent avait fait une démo en bleu), le seul garçon a choisi de travailler en rose.
 Dans l'après-midi, le canal nous a amenés dans les jardins du musée Labit.
Consignes : deux couleurs, placer d'abord le minéral.
J'aime beaucoup cet endroit, pour le jardin et pour l'architecture néo-mauresque du musée (dont on ne voit sur aucun dessin la petite coupole bleue en tuiles vernissées).

Je ne suis pas du tout satisfaite de mon travail : on dirait que j'ai "zoomé", j'ai trop rempli ma double page sans presque laisser de blanc, et quant à la perspective, pourtant simple et à un seul point de fuite de l'allée, c'est l'horreur !!!

2017/06/19

Carnets, trucs et astuces

Ce que j'adore quand on croise des Urban Sketchers, c'est le côté "espionnage industriel" : on se regarde mutuellement les carnets, mais aussi tout le matériel : la taille du sac, des carnets, le papier, les crayons, l'aquarelle, le rangement... Toujours des idées à prendre (même si, hélas, avoir le même matériel ne procure pas le même talent !), avec comme objectif principal, bien sûr, mais pas si évident, de voyager léger...

Idées tirées de l'atelier de samedi : quelques crayons de couleur non aquarellables pour dessiner direct en couleur (on est moins tenté de gommer et on peut mouiller par-dessus), des boîtes en plastique pour les pinceaux et les divers trucs.
Vincent utilise, en guise d'aquarelle, des pastels aquarellables Neocolor 2, mais prépare son "aquarelle" avec sur la palette avant de l' utiliser sur le papier, je n'y avais pas pensé ! En échange, il a été impressionné par mon crayon à mine multicolore (le mien vient de la Fondation Tapiès) et en a trouvé un à la boutique du Muséum. Maintenant, il y a même plusieurs gammes de couleurs.
J'ai été contente d'apprendre que je ne suis pas la seule à être impressionnée (éventuellement paralysée) par un carnet ou un papier trop beau/trop cher, Luc c'est pareil (ouf).

Total, j'ai acheté 5 crayons Polychromos de Faber-Castell, 3 verts, un bleu, un vert. A demander au père Noêl si on en veut beaucoup... (pas indispensable, probablement).

Autre conseil : pour son compte (moi c'est Flickr) scanner ou photographier ses oeuvres, même modestes ou ratées, au fur et à mesure. Mettre en mots-clés au moins l'année et la ville (ou le pays). En cas de mort subite d'un ordinateur, ça évite de devoir tout recommencer  en farfouillant dans des carnets, cartons à dessins et papiers divers.
Je dis ça, quand je pense que je n'ai même pas scanné mes dessins des Canaries en février-mars 2017 :-(


2017/06/17

Une énigme résolue ?

On cherchait le nom d'un petit arbre mystérieux.

Mes savantes lectrices botanistes m'ont mise sur la piste, en suggérant (voir les commentaires du post initial) mais oui mais c'est bien sûr, un noyer. Noyer d'Amérique (Juglans nigra) ou noyer de Mantchourie (Juglans mandshurica).
L'arbre de ce jardin a au moins 30 ans et il ne mesure pas plus de 5 ou 6 m, beaucoup trop petit pour un noyer d'Amérique qui devient un vrai géant. Et ses (futures) noix ne sont pas pointues comme celles du noyer de Mantchourie.
Mais la fiche Wikipedia de celui-ci m'a mis sur la piste d'une variété, Juglans mandshurica var. sachalinensis, ou Juglans ailantifolia. Et là, l'arbre est plus petit, les noix sont sphériques et en grappes, je crois qu'on y est.

Un noyer du Japon, 鬼胡桃 oni-gurumi, normal dans le jardin d'un amateur de bonsai, non ?

Merci à Internet, merci aux savant(e)s botanistes qui me lisent...

Toulouse, 17 juin


 Le premier des ateliers où je m'étais inscrite, c'était hier.
Déjà, ne pas confondre le street art et le croquis urbain.
 Un scoop pour mes lecteurs : Toulouse va avoir, comme Barcelone, ses ramblas !

Les horaires ont été modifiés, on a commencé plus tôt et fini plus tôt. C'est mieux pour la chaleur, genre 35°, pour mon dos, pour profiter de la ville et faire un peu de shopping...
Le programme aussi a été changé, on est resté finalement dans le Jardin des plantes. Toujours aussi idyllique !
Et contrairement à ce que je pensais, nous n'étions que deux (pour deux formateurs !), ce qui a permis de beaucoup échanger - et empêché de se planquer pour paresser au fond de la classe...
Donc, voilà. Je vous épargnerai mes deux premiers croquis.


 Contours, ombres et lumières. Deux couleurs à l'aquarelle et un crayon à deux couleurs bleu-rouge pour les accents.
Méconnaissables, les bâtiments du Muséum. Dans le stress, j'avais oublié de compter les niveaux et pas réalisé que le bâtiment de droite a une architecture différente.
Tant pis, l'orange marque la toulousitude. Et le grand machin bleu, à gauche, c'est un platane...
Vue vers l'entrée du Jardin. Les grands machins verts, à droite et à gauche, sont des platanes.
J'aurais dû laisser un peu du blanc du papier pour, au fond, les colonnes blanches du grand portail.

Je recommence samedi prochain.
Et Vincent sera par ici le 8 juillet, avec un groupe de l'Alliance Française, et nous propose de venir avec eux peindre directement à l'aquarelle.

2017/06/13

Help needed !



Les savants botanistes parmi mes lecteurs sont invités à identifier ce petit arbre (plutôt un arbuste ?).
Il  est dans le parc d'une maison dans la région de Montauban, et personne n'a encore réussi à l'identifier !

2017/06/12

Le bas du jardin, 2

 Comme je l'avais dit, c'est allé très vite, même si ce n'est pas tout à fait fini.
Dans l'herbe au premier plan, la sauge des prés.
Dans l'ordre, les outils sont : la faucheuse, le râteau, l'andaineuse, ces deux opérations sont répétées, puis la machine magique à faire les balles rondes.
On règle à l'avance le poids des balles, ici 250 kg, quand le poids est atteint, il y a un signal sonore dans la cabine du tracteur, la balle est filmée (une sorte de filet) puis éjectée.

L'hiver, les brebis de G. consomment deux balles de foin par jour.

2017/06/11

Le bas du jardin

 Hier, après fauchage et premières lignes de foin.
 Ce sont deux outils différents que G. accroche au tracteur pou faire ces deux opérations.
 Effets de textures et de lignes dans le paysage.
Dans les jours suivants ces lignes vont être faites et refaites, pour que le foin soit bien sec.
Avec 35° à l'ombre, ça devrait aller vite.
Après, une autre machine fera les balles rondes, et un autre appareil les chargera sur la remorque.

2017/06/06

26 mai, visite de jardin

Pas loin d'ici, avec le club de jardinage, visite du jardin d'Aline. Sur le causse, avec très peu de terre, beaucoup de cailloux et de calcaire, c'était il y a 16 ans un ancien pré à vaches envahi par les ronces.
 C'est surtout un jardin de roses et de vivaces : environ 450 rosiers dont 300 différents (si, si !)
 Malgré le drôle de climat du printemps, les alternances de vagues de chaleur et de gelées, les fleurs sont magnifiques.
 Le cadre, les ouvertures sur la campagne et l'architecture traditionnelle aussi...
Contrairement aux apparences, c'est un jardin sans eau : les plantes ne sont arrosées que la première année. Les conseils d'Aline : planter serré et couvrir le sol.
Beaucoup de rosiers sont issus de trocs et de boutures.

Le jardin d'Aline fait partie des jardins qui seront ouverts au public les 10 et 11 juin prochain dans le cadre de l'opération Bienvenue dans mon jardin au naturel.

Je dois bien l'avouer, ces visites de jardin provoquent chez moi un mélange d'enthousiasme et de découragement... Heureusement, cette année, j'ai l'excuse de mon dos !



2017/06/04

Surprise

Devant ma porte, en rentrant. 

2017/06/03

Créer un motif de kimono...

Ne pas perdre de temps, vous avez, pour le concours 2017,  jusqu'au 20 juin, les infos sont ici.
Cette année, on ne peut envoyer qu'un seul projet, au lieu de trois les années précédentes.

Petite révision, à la Maison de la culture du Japon à Paris, en décembre 2016.