Made in Souillac

Il me fallait un nouveau manche pour le râteau (en bas).

Dans la vieille quincaillerie du village, j'ai trouvé exactement ce qu'il me fallait, en pur frêne et made in Souillac (Lot) ; j'ai pris aussi un autre râteau à fener (en haut) en pur frêne et made in Souillac  lui aussi, et des graines de haricots.
Du soleil tôt ce matin, maintenant il pleut !

Deux jours...

... de congé en milieu de semaine, bizarre (et agréable).

Une rando près de Puycelsi, la visite des châteaux de Bruniquel (il  y en a deux !), un drôle de temps, du soleil le matin, de la pluie en fin d'après-midi.

Des copains pour m'aider à désherber le potager.
Même si les "saints de glace" ne sont pas passés, et donc les gelées encore théoriquement possibles, pariant sur mon optimisme et le réchauffement climatique global, j'ai planté un pied de tomate (cerise rouge), deux de courgettes (jaune et "ronde de Nice"), quelques pieds de basilic et une mini-courge.
Les pois sont en fleurs, les fèves préparent leurs gousses, encore bien petites, et pour l'instant les prédateurs n'ont pas encore trop réalisé qu'il y a des choses délicieuses et nouvelles  du côté de  chez moi !

Par contre, aucun lys des Pyrénées. En général, autour du 10 mai, il me semble.
Au moins 15 jours de retard dans la floraison.

Demain, les photos !

Châteaux de Bruniquel. Du XIIe au XVIIIème siècle.

Galerie Renaissance. Au château vieux. 

Vue superbe sur la vallée

de l'Aveyron.

La Galerie Renaissance est du XIXème...

Au fond, le tas d'herbe. Mais il en reste encore beaucoup !

Premiers cistes

 Plus tard que d'habitude, il me semble, mais peut-être à tort.
Ici, c. albidus, un mini-pied ramené de la garrigue.

 Un hybride de chez Filippi. Il faudrait que je retrouve le nom.
Les feuilles, étroites, ressemblent à celles du  ciste de Montpellier.
Tous mes cistes, ceux-ci et les autres, ont vaillamment résisté aux -17° prolongés de l'hiver dernier.
Comme ils ont une durée de vie courte (10-12 ans), j'essaie de les bouturer.

Au fond, la frontière nature-culture !
La partie tondue (pas souvent) et la partie pré, qui ne sera fauchée qu'une fois, vers juin.
Je ne crois pas qu'on voit les Pyrénées au fond (on les devine peut-être en cliquant sur la photo ?), mais je crains qu'il ne pleuve (encore) pour ces deux jours de congé.

L'arbre est le plaqueminier planté en novembre 2011. Le premier était mort.
Comme c'est un arbre que j'adore, j'en ai planté un autre, différent, l'automne 2012. Je suis une jardinière têtue !
Les lys des Pyrénées (à deux km de chez moi) doivent être en fleurs !

Montauban

Le musée Ingres vu d'en bas, près du Tarn.

Dans le potager, dans le pré

 Au pied des fèves, ophrys aranifera.

Pas loin, ophrys scolopax.

Botanique express

 Petit arrêt sur la crête en revenant de chez le coiffeur. En profiter avant la pluie !

 Orchidées en vrac, au téléphone et floues.
 Des ophrys, je dirais. Ophrys aranifera, Ophrys lutea, la troisième je ne sais pas (malgré l'aide pourtant fort savante des livres de Rémy Souche et de Christian Bernard).

P.S. Dernière photos : Hélianthème des Apennins.
Pour les identifications (merci Danielle, son blog s'appelle Herbier des champs), voir les commentaires.

Comme prévu, il a plu tout l'après-midi, et il continue de pleuvoir !
Je me console en pensant aux arbres récemment plantés et au potager.
Semé (pour la verticalité) quelques grains de maïs. Deux écureuils se poursuivaient dans les branches.

Herbe

La météo prévoyant le retour de la pluie, j'ai passé la plus grande partie de la journée au soleil, à désherber - à la débroussailleuse, à la cisaille, et à la main - le tour des arbres et le pied du muret.
Dur, dur !