Le prétexte était de voir les bonsaïs d'un collègue du MBC, mais en réalité je voulais observer surtout son système d'étagères. Pas question en effet de les laisser à la portée des escargots et des multiples animaux domestiques et sauvages, les bonsaïs c'est du sérieux.
Comme il a plusieurs étagères avec différentes orientations, une serre, une véranda, un vrai jardin avec des coins, des massifs, des arbres, un bassin, un potager en état de marche, les dépendances traditionnelles pour le bois, les outils et les pots, sans compter une sacré collection de bonsais de tous âges, le tout sur le causse du Quercy, je suis retournée chez moi à la tombée de la nuit bien punie de ma curiosité et, je dois dire, quelque peu démoralisée devant l'ampleur de la tâche...
Plus je réfléchis, plus je m'intéresse aux plantes (Hallé, Clément, ...) et plus il m'apparaît que "faire" des bonsaïs est une "monstruosité" !
RépondreSupprimerEt au prix de combien de "souffrances" pour les arbres concernés ???
(je suis contente d'avoir réussi à l'écrire!)
FL
C'est bien d'avoir réussi à l'écrire... et j'espère bien qu'on restera amies, malgré les bonsaïs.
RépondreSupprimerLes arbres subissent des tas de choses de la part des hommes et de la nature. Sans doute les destructions des forêts tropicales sont bien plus graves.
Pour moi, c'est une autre échelle; les bonsaïs sont vivants et continuent de grandir (moins), de fleurir, de faire des fruits, ils vieillissent, on s'en occupe, ce ne sont pas des hommes ou des animaux. La taille fait "sortir" d'autres branches...