Le week-end dernier, il y eu à Toulouges, dans les Pyrénées Orientales, une expo régionale de bonsais, avec sélection pour l'expo nationale de 2017 (plus ou moins le championnat de France). Voici donc Jack, un copain du club, son arbre, un pin à crochets (Pinus uncinata) et son diplôme.
Et voici d'un collègue blogueur un article sur les bonsais. Pas en français, trop facile, ni même en occitan standard, mais en limousin (une des formes régionales de l'occitan) s'il vous plaît !
Ce qui fait écho à un post de Meg, quelque part en Nouvelle Zélande, où elle s'interroge sur l'appropriation culturelle, et à la découverte par un autre blogueur, dans une bourgade a priori un peu endormie du Japon, d'une pâtissière qui fait des gâteaux à la française.
Bref, le monde est petit, et l'appropriation culturelle fonctionne dans tous les sens !
Bonjour,
RépondreSupprimeret oui le monde est petit, grandes les aspirations de chacun pour le faire beau.
L'appropriation culturelle n'est pas un problème si elle ne tourne pas en ridicule ou si elle ne vire pas folklore sclérosé.
L’émission culinaire de Paris-Inter, dimanche midi, parlait de la tempura que les japonais ont « volé » aux portugais avant d'en faire une de leur spécialité.
J'avais vu un tissage des 3 premiers volumes (sur 4) du Dit-du-Genji réalisé par un tisserand japonais sur un métier lyonnais (technologie du 19eme).
Appropriation, quand c'est pour en sublimer l'essence, non, un juste emprunt.