Lo dimarç, Roqueta
lo dimècres, amé Bodon,
dintra la lenga ?
(
Puisqu'on est dans les livres, je recommande Certaines n'avaient jamais vu la mer, de Julie Otsuka.
En 4 de couverture : Ces Japonaises ont tout abandonné au début du XXème siècle pour épouser aux Etats-Unis, sur la foi d'un portrait, un inconnu. (...) Choeur vibrant, leurs voix s'élèvent pour raconter l'exil : la nuit de noces, les journées aux champs, la langue revêche, l'humiliation, les joies aussi. Puis le silence de la guerre (...)J'aime cette écriture à la première personne du pluriel, ce 'nous' qui dit à la fois un destin commun et toutes les différences individuelles.
En exergue, un haiku (Masahide):
A présentLa grange a brûlé -
Je vois la lune.
Nette préférence pour le jeune blé bien tendre !
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